Sarah

Bologne

"Pourquoi se complaire dans la facilité quand on peut relever de plus grands défis ?"

J’aurais dû étudier à Bologne, au cœur de l’Italie, mais c’est à Toulouse, dans la ville rose, que je suis venue faire ma licence de management. Tout s’est joué en 2013 quand une opportunité professionnelle a incité ma famille à s’installer en France. Je ne parlais alors pas un mot de français. J’ai dû recommencer le lycée. Grâce à ce retour à zéro, j’ai acquis des bases solides. Je suis devenue exigeante avec moi-même. Ça m’a valu une mention très bien au bac ! Je n’ai laissé personne décider de mon avenir. Pourquoi faire facile quand je pouvais me lancer un défi malgré la barrière de la langue ? Mon professeur d’économie m’a indiqué la voie royale pour les grandes écoles de commerce. Je suis entrée en classe préparatoire au lycée Ozenne et j’ai rejoint le programme de mentorat d’Article 1. Mon premier mentor m’a préparée pour les oraux. À la sortie de la Toulouse Business School, j’aimerais faire une carrière dans le marketing industriel. Je poursuis également un master en alternance avec l’aide de mon second mentor. Je vais dans les lycées aider les plus jeunes à faire les bons choix d’orientation. Enfin, je suis devenue présidente de l’association United Nations of Asia et je m’emploie à promouvoir la culture asiatique.